Vous le savez peut être mais les dissections de souris sont maintenant prohibées dans les plus petites classes. Mais hélas à part la souris et la grenouille peu d’enseignant proposent d’autres alternatives dans l’enseignement général.
Reste alors l’université. Il reste maintenant l’université pour apprendre aux plus passionnés par les sciences l’anatomie des différents animaux et végétaux. Certes les étudiants pourront découvrir l’anatomie des mammifères avec les souris et rats, mais avant cela ils réaliseront de nombreuses autres dissections.
Un bon moyen pédagogique, qui est d’ailleurs le plus rependu en enseignement de biologie animale a l’université est de parcourir les différentes classes d’être vivants du plus primitif au plus évolué. Les étudiants appréhendent ainsi les notion de métamérisation en partant de l’observation et la dissection simples de vers, plathelminthes et nématodes. Puis viennent en général les crustacés, les dissections de moules ou de calmar sont ainsi fréquentes dans les labos des facultés de biologie. Les étudiants ont aussi la chance de pouvoir disséquer divers insectes ou araignées (plus rare tout de même du fait du coût des spécimens). Avant de passer aux batraciens et aux mammifères. Ces derniers donnant des possibilité de réaliser des dissections très pédagogiques centrées par exemple sur le système digestif, ou encore le système reproductif.
Vous l’aurez compris, nos jeunes scientifiques sont toujours bien formés en fac de biologie ou dans les IUT avec de nombreuses dissections pour apprendre l’évolution des êtres vivants et leur anatomie. Une base avant de passer à des matières comme la biochimie ou la biologie moléculaire.
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