Aujourd’hui j’ai choisi de vous parler de la dissection comme d’habitude, mais de la dissection non pas sur des animaux de laboratoire à des fins de recherche scientifique mais sur des cadavres humains à des fins pédagogiques. Tout de suite c’est moins glamour!
Ouvrons notre trousse à dissection
Comme vous le savez, ou pas d’ailleurs, les étudiants en médecine apprennent l’anatomie en s’exerçant sur des cadavres! Et oui les livres c’est bien beau, mais rien de mieux que de s’exercer en pratique! Après quelques recherches j’ai trouvé que ces dissections ont lieu la plupart du temps assez tôt dans le cursus, soit en deuxième année de médecine soit en troisième année. De quoi bien se mettre dans le bain!
Le traumatisme de la dissection
Affin de ne pas trop traumatiser les étudiants les cadavres sont rarement entier mais les dissections se font par pièces, c’est à dire l’abdomen uniquement ou encore la tête seulement. Du dire même des étudiant c’est bien la dissection de la tête qui est la plus dérangeante et on comprends pourquoi. Les dissections sont aussi perturbantes car les sujets sont conservés longtemps en formol et l’odeur serait des plus désagréables.
Qui disséquer?
Vous vous posez peu être la même question que je me suis posée: qui est ce qu’on dissèque? Pourra t’on me disséquer une fois décédé? Et bien la réponse est heureusement non, les sujets de dissection des des corps dont leur propriétaire a décidé de faire do à la science! On entends souvent cette expression qui finalement est erronée car on ne ait pas don de son corps à la science, mais aux salles d’anatomie des études de médecine. C’est moins attrayant quand même! Surtout que clou de la chose, saviez vous que faire don de son corps à science est payant! Et oui, c’est assez étrange tout de même!
Si le sujet vous intéresse, je vous conseille aussi cet article sur le dissection. Je pense qu’il pourra vous apporter d’autres infos sur l’appréhension des étudiants avant les dissections.